Lorsqu’on est céréalier, on a à cœur de cultiver les graines dans le respect de la terre. Souvent, c’est même une tradition qui se perpétue de père en fil(le)s… Pourtant, dès que les céréales sont transformées, tout ce soin apporté est presque annulé. Elles sont utilisées pour fabriquer des produits qui ne respectent pas toujours la santé des consommateurs, et mélangées à des additifs toxiques, des conservateurs nocifs, des perturbateurs endocriniens… Les industriels ne prennent pas de gants ! Mais depuis plusieurs années, les céréaliers sont de plus en plus nombreux à vouloir reprendre les commandes sur ce que l’on fait de leurs céréales. L’idée ? Prendre la main sur la transformation des céréales, pour proposer des produits de qualité aux consommateurs. Comment faire ? Quel plan d’action adopter ?
Des filières de commercialisation plus équitables
Les choses semblent parfois échapper aux céréaliers. La crise agricole ne les épargne pas, et ils doivent désormais user d’ingéniosité pour réussir à continuer à développer leur activité. Souvent délaissés, ils produisent des céréales qu’ils peinent à vendre à prix raisonnable, et cette seule activité ne suffit plus à maintenir la tête hors de l’eau.
Et le dérèglement climatique, ses sècheresses et canicules ne viennent pas arranger les choses, limitant ainsi drastiquement la production et ne permettant plus aux céréaliers de profiter de revenus suffisants pour continuer à vivre.
C’est alors que l’apparition de filières de commercialisation plus équitables apparaissent. Désormais, le céréalier ne se contente plus de produire les céréales : il les transforme, afin d’apporter une vraie valeur ajoutée à son exploitation. Il produit alors des farines complètes ou semi-complètes de qualité, et va même parfois jusqu'à enfiler le tablier de boulanger, pour réaliser des produits sains.
L’intérêt de développer une boutique au cœur de son exploitation, devient de plus en plus incontournable : pour créer de nouveaux revenus, et enfin reprendre les manettes d’un système qui le laissait de côté.
La transformation des céréales pour des produits qui leur ressemblent
Et créer une boutique sur son exploitation ne permet pas seulement aux céréaliers de booster leurs revenus. Cela leur permet également de reprendre la main sur ce qui est fait de leurs céréales. C’est une façon de dire non à l’alimentation trop industrielle, qui ne répond plus aux envies et aux besoins des consommateurs. Les produits toxiques sont alors éloignés aux profits d’aliments plus naturels et sains.
La transparence est à l’ordre du jour : le consommateur, en achetant directement au producteur, sait comment la céréale est cultivée puis transformée. Il sait exactement de quoi sont faits les ingrédients qui composent son produit final : fini les aliments appauvris, place aux produits bons pour la santé, riches en nutriments, en vitamines, en fibres et en minéraux !
Reprendre la main grâce à un moulin électrique professionnel
Pour reprendre la main sur son activité, le céréalier doit réussir à transformer ses céréales de façon respectueuse. Le problème, c’est que les moulins professionnels à meule de pierre traditionnels et les moulins à cylindres ne permettent pas de véritablement créer des farines saines : la vitesse de rotation de ces moulins étant trop rapide, la graine est oxydée, chauffée, et appauvrie. Les nutriments et les fibres disparaissent dès lors que la céréale est écrasée, et la possibilité de proposer des aliments santé s’éloigne.
Mais la bonne nouvelle, c’est qu’il existe un moulin qui agit différemment : le moulin de type Asrtié. C’est un moulin à meule de pierre qui fonctionne avec une vitesse de rotation plus lente : grâce à lui, la céréale peut être déroulée, et non plus écrasée. Le céréalier profite donc d’une farine de qualité, qui conserve toutes ses propriétés nutritives : farine T80, ou T110 permettent alors de créer des pains, biscuits, galettes et pâtisseries aussi bons pour les papilles que pour la santé.
Le moulin Astrié peut aider les céréaliers à transformer n’importe quel grain : sarrasin, blé tendre, blé dur, châtaigne, maïs, orge, seigle : tant que la céréale est suffisamment sèche, elle peut être déroulée entre les deux meules, grâce à un réglage micrométrique. Pour réussir à proposer une large variété de produits dans la boutique, attirer l’attention des consommateurs, et se démarquer de la concurrence, c’est un plus qui ne laisse pas indifférent !
Pour réussir à reprendre la main sur ce que l’on fait de leurs grains, les céréaliers mettent les bouchées doubles et optent pour la transformation des céréales. Source de revenus intéressante, cette stratégie permet à leur activité de se pérenniser, tout en offrant précisément aux consommateurs ce qu’ils recherchent : des produits artisanaux et un retour au naturel. Envie d’en savoir plus sur le moulin Astrié ? Notre guide en 5 étapes pour bien le choisir pourrait bien vous aider !
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