Pour Astreïa, j’assemble le moulin, je suis en contact avec les fournisseurs. Je mets à jours nos plans, lors de modification de pièces, ou d’études pour certaines options.
Les mains de notre moulin
Je suis la réception des marchandises et le paiement des factures aux fournisseurs.
Ma mission est d’assurer la qualité du produit.
Son histoire chez Astréïa
Mon histoire avec Astreïa débuta par une rencontre, avant même son existence donc. Cette rencontre, fut celle avec Philippe, que je rencontrai lors d’un entretien de recrutement. Je postulais à un poste chez Sunilux. J’entamai donc une première histoire avec Sunilux , comme deviseur en menuiseries aluminium. Après 2 à 3 ans, Philippe me proposa alors, d’entrer dans l’aventure Astreïa. Je rencontrai alors Jean-Marie, qui me fit également confiance. Je fus séduit par la beauté (n’ayons pas peur des mots), du projet de Jean-Marie, qui n’était pas sans résonnance avec celui de Philippe.
Une passion pour la musique
Ma passion de toujours est la musique, depuis qu’une maitresse de l’école maternelle m’avait qualifié de « mélomane », suscitant la curiosité chez mes parents, pour ce mot qu’il ne connaissait pas.
L'équilibriste
Ce qui compte aujourd’hui, en premier, ce sont mes 5 enfants, 3 d’entre eux vivent avec moi. C’est donc un peu un tour d’équilibriste, de réussir à rendre possible que tout ce petit monde soit en mouvement, y compris moi-même, sans que les uns ou les autres ne soient absorbés par le maelstrom familial.
Ce sont donc des valeurs de respect de la singularité de chacun que j’essaie de faire vivre avec mes enfants, et c’est aussi ce que j’ai senti dans ma rencontre première avec Philippe. Ces valeurs-là se conjuguent avec, éthique, vrai, compassion, douceur, mais aussi une certaine forme de droiture, saupoudrée d’une bonne dose de souplesse.
C’est souvent un tour d’équilibriste de les faire tenir ensemble. Je ne cherche pas l’harmonie, qui supposerai une forme de plénitude un peu statique, mais un équilibre, jamais stable, mais qui permet le mouvement, la vie.
Un choix qui s'imposait comme une évidence
Je me trouvai face à un choix qui s’imposait comme une évidence, de suivre ces deux hommes qui plaçaient l’humain, au centre des activités humaines. L’entreprise en est une, et ce que j’écris peut paraitre redondant, mais j’insiste, car c’est assez rare.
C’est d’un moment pivot dans mon existence dont je parle, puisque j’ai alors la chance de faire se conjoindre les idéaux de ma jeunesses, soucieux que j’étais des contraintes environnementales qui allaient pensais-je bousculer les relations entre les hommes de la planète, avec mes responsabilités de papa à l’œuvre au quotidien.
Donner du goût à nos palais et à ceux de nos enfants
Mes idéaux venaient à s’ancrer dans la terre, et j’allais pouvoir travailler modestement mais concrètement, en participant à une proposition alternative, qui pourrait rémunérer à son juste prix le paysan, donner la possibilité au boulanger de travailler un matériaux noble, et donner du goût à nos palais et à ceux de nos enfants.
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